lundi 27 mai 2024

Le Musée du Temps des baigneurs

 

Superbe groupe de baigneurs du musée, prise sur le Net

Dollsdemarie, dans un commentaire sous un article de mon blog, a mentionné le Musée du Temps des baigneurs, et son amitié avec Marie-Jeanne et Michel Harnais. Je lui disais combien je regrettais de ne jamais être allée voir ce musée qui est maintenant fermé, et combien aussi j'espérais qu'elle fasse un article sur son blog, avec ses photos du musée, en hommage à M. Harnais, mais l'idée peut s'étendre : peut-être que ce serait bien si toutes les blogueuses qui étaient allées visiter ce musée, fassent aussi un article dessus. 

Je voulais écrire un mot à Mme Harnais, mais j'y ai renoncé : je ne la connais pas, et elle m'aurait à juste titre, prise pour une fadade ; écrire aux gens que l'on ne connait pas, juste parce que l'on aime leurs poupées, est déjà bizarre, et combien plus quand on ne les a jamais vus ! Mais elle aimerait sûrement que des personnes qui la connaissent, ou au moins l'avaient rencontrée, parlent de leur musée, et de tout leur travail commun.

 


Pendant des années, il y a eu pas très loin de Toulon, au Beausset, un fabuleux musée de la poupée ancienne, tenu par Madeleine Wüest et son mari. J'adorais ce musée qui était au rez de chaussée d'une très belle maison provençale. Mais le désintérêt, puis le dénigrement, dont des membres de la municipalité ont fait preuve vis à vis du musée, ont poussé Madeleine à emballer ses poupées, mettre ses chats dans des paniers de transport, et reprendre avec eux et son mari, le chemin de leur Suisse natale. 
Je regrette tellement ce musée, la gentillesse de Madeleine, les stages et expositions qu'elle organisait, ses réparations parfaites des poupées abîmées et les reproductions de poupées anciennes qu'elle fabriquait, de la même manière que les poupées originales avaient été faites ! Il y a un stade dans la fabrication d'une tête en biscuit, où la tête en porcelaine crue, fraichement moulée, doit être ébarbée, poncée, et l'emplacement des yeux ouvert ; tout ca avec une matière bien plus fragile que de la coquille d'œuf ! le mari de Madeleine, qui l'aidait souvent dans cette tache, lui disait qu'il avait l'impression de travailler avec de la dynamite, qui pouvait exploser à chaque instant, ce qui m'avait fait beaucoup rire ! 

Je n'ai pas de photos de sa collection, c'était avant qu'on ait en permanence, un appareil niché dans son portable, mais je me souviens très bien des poupées, et surtout d'une expo de grandes poupées, faites par sa sœur, qui représentaient toutes des personnes âgées. 
Le clou un peu involontaire de l'exposition, était un vieux monsieur en chemise et bonnet de nuit, représenté assis au bord de son lit, prêt à se lever. Madeleine m'avait dit que le tripotage des visiteurs lors des expos en Suisse, qui n'hésitaient pas à palper les tissus ou relever les jupes pour-voir-comment-c'était-fait (au temps pour la discipline suisse !), agaçait beaucoup sa sœur, qui avait fabriqué cette poupée un brin différente car anatomiquement correcte, pensant choquer un peu les impudents ; mais bien au contraire ! Tous ceux qui se trouvaient nez à...hum, aux bijoux de famille de la poupée, éclataient de rire, et appelaient le reste de la famille pour venir voir ! Je n'ai pas osé soulever le bord de la chemise de cette poupée qui avait un sourire taquin ; je le regrette un peu maintenant : ce n'est pas le genre d'opportunités qui se présentent souvent !

L'instituteur est une des poupées créées par la sœur de Mme Wüest


Compilation d'articles parus sur La Pouponière : https://lescabanesdubeausset.e-monsite.com/pages/au-musee-galerie-de-la-poupee/au-musee-galerie-de-la-poupee.html

samedi 25 mai 2024

Au feu, les pompiers !


 

"Au feu, les pompiers, la maison qui brûle ! Au feu, les pompiers, la maison qui va brûler..." était une chanson de corde à sauter populaire, quand j'étais petite, mais les incendies sont un danger quotidien, qui peut arriver, même chez les plus prudents ! 

Nous avons eu deux alertes, une il y a des années : le coin d'un torchon posé sur la gazinière, trop près de la flamme, avait pris feu. Je tournais le dos à la gazinière, mais Elise, déjà débordante de sang-froid avait juste dit "Heu... Au feu ?", et j'avais tout de suite jeté le torchon dans l'évier.

L'autre alerte, il y a 2 ou 3 ans, a été plus sérieuse : dans la chambre de Romane, une bougie parfumée posée sur sa commode a mis le feu à un foulard pendu au mur ; le courant d'air de la porte se refermant quand elle était sortie, l'avait rapproché de la flamme. On s'en est aperçues presque instantanément (quoique par hasard !), mais en une ou deux minutes, le feu avait dévoré le foulard, et attaquait d'autres objets sur le dessus de la commode. 
Je suis fière de pouvoir dire que personne n'a paniqué, et qu'on s'est précipitées pour inonder le feu d'eau et d'imprécations, ce qui l'a éteint ; l'eau surtout...

Romane a perdu quelques biens, et gagné une solide méfiance vis à vis des bougies, mais récemment, quand Elise a participé à une formation de lutte contre l'incendie (elle travaille dans un bureau, mais les bureaux sont pleins d'appareils électriques !), elle a appris que nous étions passées très près d'un gros incendie ! La force d'un feu suit une progression exponentielle dès lors qu'il a de quoi brûler, et il est rapidement hors de contrôle : le lit de Romane était à côté, quelques minutes de plus, et il prenait feu lui aussi !  

D'où son achat d'une couverture anti-feu, investissement d'un coût modeste que je ne peux que conseiller à tout le monde ! Elle ne se périme pas, contrairement à un extincteur, et est d'une utilisation facile puisqu'il suffit de la jeter sur les flammes. 

Je vais aussi aller vérifier où en sont les piles du détecteur de fumée posé sur une haute étagère ; il refusait de coller au plafond.

 "Better safe than sorry", expression anglaise que j'aime bien, plus pragmatique que "Mieux vaut prévenir que guérir" !

mardi 21 mai 2024

Collection clandestine

Une de mes filles inspectant mes derniers achats, m'a dit : "Depuis que tu suis autant de blogs, tu achètes beaucoup de poupées que tu collectionnes pas..." 
Je plaide coupable (difficile de nier quand les preuves me sourient du haut de l'étagère !), mais à côté d'une collection principale, ne peut-on avoir une ou deux collections annexes ? Ou plus de deux...
Le fait est que depuis que je croise et apprends à identifier des poupées sur les blogs, je suis d'autant plus tentée d'acheter les poupées que je croise et reconnais aux Puces et à la Ressourcerie ! Quand elles sont en parfait état, je suis tentée - qui ne le serait pas ? - et quand elles ne le sont pas, je me dis que je dois éviter qu'un témoin de l'histoire du jouet finisse à la benne...
 

32 cm

Cette très jolie Raynal ne fait donc pas partie de façon officielle de ma collection ; mais mes Raynal d'enfance ont disparu lors d'un déménagement chaotique, et le superbe livre d'Élisabeth Chauveau avait ravivé toute ma nostalgie. 

Il s'agit de Dominica, la version noire de Dominique, une célèbre poupée de cette firme, fabriquée en 1959, et vendue pendant plusieurs années en raison de son succès. Dominique existait en bébé buveur/mouilleur, ce qui n'est pas le cas de la mienne. Elle a un genre de "sifflet" (?) dans le dos, qui ne pouête-pouête plus, mais qui fait sortir de l'air par la bouche de la poupée quand on appuie dessus, ce qui est un brin malaisant, je trouve ! 

 


 Elle est vêtue d'une culotte et d'une chemise, peut-être d'origine, qui devaient accompagner une robe d'organza, avec chaussettes et chaussons. Évidemment, je n'ai rien de tel à lui mettre, même si j'ai une bonne quantité de petits vêtements ; selon une loi bien connue des collectionneurs de poupées : c'est toujours UN PEU trop grand, ou UN PEU trop petit ! Les vêtements des poupées-enfant sont parfois marqués, comme chez Bella, ou Clodrey, mais bien plus souvent, les fabricants de moindre envergure ne le faisaient pas (les vêtements Colibri, en revanche, sont taillés pour toujours tomber au mieux, sur la poupée dont la taille est indiquée sur l'étiquette, une exception !)...

Parlant de vêtements, est-ce que ceux-ci appartiennent à la garde-robe de poupées connues ? La robette rose a une étiquette en papier Made in Hong Kong, la combi bleue n'a pas de marque, mais elle me fait penser à Cathie

 

29 cm, de l'épaule au bas de la jambe

11 cm, de l'épaule à l'ourlet


Mon association depuis 27 ans, pour laquelle je suis bénévole et maison d'accueil, c'est l'AGPF ; le F étant pour "Féline". Néanmoins, je vous présente Cornelius et Merlin, deux pensionnaires pas tellement félins, hormis pour leur manière autoritaire de réclamer le menu, respectivement lapin et cochon d'Inde. Cornelius souffre d'un handicap suite à un syndrome vestibulaire (plus une otite profonde et des ulcères des cornées, stabilisés pour l'instant : ces petits animaux qui proviennent le plus souvent de véritables élevages industriels sont très fragiles)

 

Merlin est le porte-parole du groupe, avec une puissance vocale exceptionnelle pour un boudin antillais replet !


samedi 11 mai 2024

Une poupée presque fantôme

 

Brigantine

Dimanche aux Puces, je fais cette découverte, qui m'a tout de suite parue familière, sans que je souvienne d'où je la connaissais.

Puis une illumination : c'est Brigantine, la poupée de Pépin la Bulle, une série de l'ORTF, créée en 1969. 

Figurine de Brigantine de chez JIM


Cependant même en ratissant ma documentation et les moteurs de recherche sur le Net, je ne trouvais pas ma poupée ! Pourtant, c'était bien Brigantine, identique à la poupée de la série, et marquée Clodrey Haute Couture dans sa robe !
 J'ai fini par en trouver une, sur Paramour des poupées ; une seule. Pourtant la série avait eu un succès normal, alors pourquoi ma Clodrey était si seule !

Brigantine du site Paramourdespoupees

Pépin la Bulle date de 1969, mais a de nouveau été diffusée en 1974 (j'avais 7 ans, mais je ne m'en souviens pas, même si on a eu la télé cette année-là, justement).
C'est est une création d'Italo Bettiol et Stephano Lonati, ce sont eux qui créeront ensuite "Chapi Chapo", et sont associés dans la société Belokapi (dans mon souvenir, quand j'entendais "Telecip Belokapi", ça signifiait que ça allait etre intéressant, et non pas barbant comme l'était la télé les 3/4 du temps !)
 Le scénario est de Michel Karlof qui est à l'origine de l'idée de départ. 
 
Pépin, un jeune garçon, possède trois jouets : la poupée Brigantine, le singe en peluche Garatakeu et le toucan  en tissu Fouretout (mention spéciale pour le fait qu'en 69, un gamin de 8/10 ans pouvait avoir une poupée en robe rose sans que ça ne défrise personne !). 
Il a le pouvoir de les faire voyager à travers le monde à l'intérieur d'une bulle de savon. Les trois jouets se retrouvent ainsi en Afrique ou au Japon.

Chaque épisode de cinq minutes, commence par la même scène d'introduction de près d'une minute : alors que Garatakeu est en train de jouer du xylophone sous le regard de Brigantine et Fouretout, Pépin lit un livre dont la page de couverture est illustrée par les trois jouets dans une bulle et le titre de l'épisode apparaît en surimpression. 
Fouretout, installé sur le xylophone, prononce alors la formule suivante "Hola ! Pépin, tu nous oublies, c'est l'heure !", Pépin caresse alors doucement le bec de Fouretout avec son index, puis Brigantine lui demande "Fais-nous prendre l'air. Tu veux bien ?" et Garatakeu termine par "Oh oui ! Pépin, la bulle ! la bulle !". 
Pépin prend alors un tube et souffle une bulle de savon qu'il dispose sur les trois jouets pour les englober complètement et prononce la formule magique "Bulle, envole-toi". Il prend la bulle dans ses mains, va vers la fenêtre ouverte et souffle sur la bulle qui s'envole dans les airs avec les trois jouets à l'intérieur.
La bulle va alors les amener au loin, soit en Afrique où ils rencontreront Bamao, un Pygmée et l'hippopotame Clapotis, soit au Japon où ils rencontreront la jeune Kimono et le papillon Bruissemendailes. 

Une explication pour le petit nombre de jouets ou autres produits dérivés de Pépin la Bulle, du moins par rapport à d'autres séries de l'ORTF est qu'elle elle n'a pas duré assez longtemps, 39 épisodes ; outre les livres et cartes postales, iI y a eu des puzzles, deux pouêt-pouêt, un jeu de cubes, des masques César, une série de figurines JIM
En ce qui concerne les poupées, la société italienne Franca avait fabriqué et fourni aux magasins en Italie et en France une petite série de poupées Brigantine...


Poupée Franca repérée sur eBay Italie (à un prix délirant !)

Mais Franca n'avait pas payé la licence pour fabriquer la poupée !  Ils ont reçu une amende et ont dû cesser de la fabriquer ; et récupérer leurs modèles en vente. Clodrey, avait déjà un contrat avec l'ORTF pour d'autres poupées, a repris la fabrication, mais c'était un peu tard : la série allait s'arrêter, il n'y a eu que quelques modèles fabriqués !

Ma Brigantine de Clodrey est complète, mais il lui manque à l'arrière de la tête une grosse mèche de cheveux, qui étaient défaits quand je l'ai trouvée. Ce manque, son implantation particulière, et la texture des cheveux aussi doux et souples qu'un tapis en coco, a rendu le recoiffage un peu périlleux, il ne faut pas y regarder de trop près ! 


Ses tresses sont censées se tenir courbées, et exprimer ses émotions !

Le roussissement et les auréoles brunes sur son pantalon et ses manches, ont résisté au savon de Marseille ; je n'ai pas insisté en dépit de l'étiquette affirmant que tout était lavable. Je n'ai pas non plus utilisé la méthode magique de Isa : les manches sont cousues à la robe en feutrine fragile.

Elle reste très mignonne, je craque complètement pour ses oreilles !


Avec elle, il y avait un Jetpartout, de Clodrey également


Il s'en est beaucoup vendu, il était désigné comme "Poupées pour jeunes enfants", il plaisait beaucoup aux tout-petits, et il passait à la machine



J'ai pêché mes infos sur le site Paramourdespoupees, la page de Pépin la Bulle, celle de Wikipédia, et surtout un bouquin formidable, "De Nounours à Casimir", de Agnès Moreau qui recense les jouets dérivés des émissions jeunesse télévisées, de des débuts jusqu'aux années 80 

Pour revenir un peu sur le débat garçons : poupées/pas poupées, qui ressort de temps en temps sur les rézosocio, comme un serpent de mer hors d'âge, il y a quand même des collectionneurs de poupées Action Joe ou Action Man, qui affirmeraient, la tête sur le billot, qu'ils collectionnent des "figurines articulées", car - comme l'affirmait aussi Hasbro - "Les garçons ne jouent pas avec des poupées" (que font-ils du poupon Eric, de Petitcollin, destiné aux garçons en 1964 !). 
Foutaises que tout ça ! La poupée Action Man a un pyjama, écossais, classique mais chic : personne n'a jamais vu de figurine Batman, s'extraire de son bat-costume et revêtir un pyjama, fut-il bat ! Une figurine articulée qui possède un pyjama, c'est définitivement une poupée !




samedi 4 mai 2024

Hifi de Bella

 


Il y a quelque temps, j'ai trouvé en Ressourcerie ce joli sourire crasseux ; je l'avais rangée (enfouie) avec les poupées pour lesquelles il faut faire quelque chose (réparer, arranger...), je viens de la retrouver, et de constater que ce n'est pas Cincia, comme je croyais - le même joli visage que Droline - ni Riquette, un peu plus grande, mais Hifi 37 ou 38 ; encore une parlante ! 

J'ai lavé ses vêtements et je l'ai débarbouillée, puis je me suis attaquée aux cheveux, très emmêlés. Comme je ne pensais pas en avoir pour longtemps, je me suis installée dans la salle de bain, et le lieu, plus le fait de démêler un bloc d'etoupe, m'a rappelé les longues séances de coiffure auprès de mes filles, qui toutes adoraient les cheveux longs, mais pas s'en occuper !
C'était quand même un peu différent de coiffer une demoiselle qui ne hurlait pas à chaque coup de peigne, ne se plaignait pas que l'eau du bain devenait froide et ne se chatouillait pas avec sa sœur !
 
 
Ses vêtements sont d'origine, il lui manque des Mary-Jane noires, je suppose ; et peut-être une ceinture, car il y a une sorte de passant sur le bord de sa tunique (mais je n'en ai pas vu sur une jumelle brunette, avec la même tenue, sur le site Paramourdespoupées).
Ses cheveux rebiquent encore un peu, je n'ai pas l'habitude ! la coiffure, pour les cellulos, c'est un coup de lavette humide sur la tête pour retirer la poussière, et quand il y a une perruque, elle est le plus souvent en rayonne, feutrée et/ou imprégnée d'une laque qui la rend impénétrable. 
 
Je vais la laisser porter un bandeau improvisé encore quelque temps : après tout, ça va avec son époque ! Le bandeau est en fait un brin de biais doré, dont j'ai une quantité notable : il en fallait pour un cosplay, mais nous n'en avions pas trouvé assez dans notre boutique de tissu habituelle, qui seule vendait cette nuance et en avait commandé. Mais avant que nous y retournions, le cosplay bien avancé, notre chère boutique a brûlé jusqu'aux fondations !!! Donc commande sur le Net, d'un bon métrage... qui n'arrive pas ! Elise trouve une mercerie qui peut nous avoir la bonne nuance, si on prend un rouleau entier, ce que nous faisons, son cosplay (Medusa de Kid Icarus) est une réussite et il reste beaucoup de biais... et encore plus quand, la commande du Net arrive paisiblement, le lendemain de la conv' !

Toujours dans la série anecdotes, je viens de me rendre compte que ma friandise préférée, la halva à la pistache, végan, si parfumée, économique, sans additif et sans sel, était en fait, une bombe calorique ! Du sésame, des pistaches et du sucre, j'étais sûrement en plein déni !

Derrière la boîte, Paillette et son fils Phileas, le chat le plus snob du département, voire de la région !

Près de 2300 calories la jolie boîte métallique de 400g ; une toute petite boîte, finalement ! Je ne suis pas le genre de personne qui chasse les calories jusque dans les concombres nature, mais vu ma gourmandise quand je plonge une cuillère dans cette pâte fondante, ça fait beaucoup par portion !

Max Beuster

Extrait du livre Celluloids de Anne Sitz Au début des années 2000, quand j'ai réussi à me procurer ce bouquin de références sur les poup...