Voici mon blog ; après des années à dire "J'vas l'faire..." (et avoir commencé à le créer sur Skyblog presque la veille de sa fermeture), je l'ai fait !
Il est consacré à mes collections, poupées de celluloïd essentiellement, mais aussi figurines, livres et vieux machins en tous genres...
Avant
toute chose, comme les poupées de celluloïd sont de loin mes préférées, je voudrais le dédier à feu Elisabeth Chauveau, que je
n'ai que peu rencontrée, mais qui m'a toujours renseignée avec une
inlassable bienveillance.
Je l'ai lu avec passion d'une couverture à l'autre jusqu'à le connaître quasiment par cœur
Puis
Alors quand j'ai appris que Mme Chauveau allait faire une conférence lors du Festival Européen de la Poupée de 2006, à Salon de Provence, où je me rendais tous les ans pour y tenir un stand (Festival qui a eu lieu pour la dernière fois en 2020, et qui est très regretté !), mon sang n'a fait qu'un tour, et je devais y être ; sauf que c'était aussi l'année, où je n'étais pas du tout sûre d'y être : à la date du festival, je devais... accoucher !
Pour
résumer, il s'est trouvé au fil des mois, que les calculs de l'obstétricien étaient
vraiment larges : la naissance est arrivée bien avant ; je suis donc
partie au festival avec bébé dans son landau, et sa sœur de 12 ans
comme aide.
C'était la grande époque des poupées reborn, toutes plus réalistes les unes que les autres, le salon était plein de couffins et de berceaux, tous occupés par des créatures de vinyle et résine, alors merci encore à ma fille Elise d'avoir passé tout le temps de la conférence - et
de la journée ! - à répéter " Non, ce n'est pas une poupée : c'est ma
petite sœur" "Elle s'appelle Coline ; oui, comme la poupée
Petitcollin..."
Elle m'avait dit avec malice "Evite de te
jeter dans les bras de Elisabeth Chauveau quand tu la verras, quand même
!", mais bien sur, j'étais pétrifiée de timidité, et je n'ai vraiment
pu lui parler que l'année suivante, quand elle est de nouveau venue au
festival...
très chouette histoire !
RépondreSupprimerPassion quand tu nous tient! Joli récit en tous cas.
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